|  | PrEsentation de l'association
        
          | Une association a été créée dans le but de réhabiliter le site de l'Ancienne Mine et 
        d'éviter que ce passé minier ne tombe dans l'oubli. Elle date de 1991 et s'appelle l'ASAM (Association de Sauvegarde 
        de l'Ancienne Mine). L'association compte plusieurs membres tous bénévoles. |  |  
        
          |  | L'association de Sauvegarde de l'Ancienne Mine (ASAM) propose, au bourg de Locmaria-Berrien, une exposition découverte de ce patrimoine à l'intérieur d'un Espace Muséal Minier (maison de la mine) éventuellement complété d'une visite sur le site. |    PLAN D'ACCESL'Espace Muséal Minier  est accessible par la D769A Huelgoat-Poullaouën, à  la gare de Locmaria prendre la direction du bourg par la VC1 sur 1 Km.  Pour se rendre sur le site de l'ancienne mine à partir de l'Espace Muséal Minier :  
        Prendre la direction de la gare (1 Km)Sur la D769A prendre la direction du Huelgoat sur 3,8 KmPuis prendre à gauche le chemin de l'ancienne mine où se trouve à 800 m une table d'orientation indiquant les différentes curiosités. 
        Sinon à pied prendre le GR37 sur environ 2 Km en direction de Kerliou-Vraz. Infos pratiques Espace Muséal Minier Albert Le Guern de Locmaria-Berrien
         Ouverture du 3ème week-end de Juin au 3ème week-end de Septembre.
 du mercredi au dimanche de 14h à 17h
 pendant cette période, visite guidée maison + site le mercredi après-midi (départ à 14h)
ou sur rendez-vous pour les groupes toute l'annéeTarifs
        Visite de l'Espace Muséal Minier : 3 € par personneVisite de l'Espace Muséal Minier+site avec guide : 5 € par personne Tarifs avec un Pass Offres Touristiques Bref historiqueCette mine, vraisemblablement exploitée du temps des Celtes (1er 
        siècle avant notre ère), et ensuite par les Romains, fut 
        très active au XVIème siècle, mais son âge 
        d'or fut les XVIIIème-XIXème siècle (1750-1866). 
        Les cadres étaient pratiquement tous étrangers, quelques 
        Anglais au départ, mais surtout des Allemands, dont les compétences 
        technologiques en développement et exploitation minière 
        étaient alors reconnues en Europe. La main d'oeuvre non qualifiée 
        était locale. Les anglais venaient du Pays de Galles et de Cornouailles, 
      les allemands du Harz, Saxe et Bavière. 
        
          | La Compagnie des mines de Basse Bretagne (1732), propriétaire 
            de la concession, exploitait ce gisement et celui de Poullaouën situé 
            à 7km à l'Est; elle employait, fin 1770, 1300 personnes 
            sur les sites, et 400 à l'extérieur (transport du minerai, 
            travail du bois en forêt pour les galeries et carbonisation pour 
            les fourneaux des fonderies). 
 |  |  C'était la plus grande mine du royaume. 
            Arrêtée en 1866, l'exploitation fut reprise au XXème 
            siècle, plusieurs fois, mais sans grand succès, et s'arrêta 
      définitivement en 1934.   |  |